Memory of Rwanda

 En 2004, dix ans après le génocide des Tutsis du Rwanda, Raphaël Glucksmann, David Hazan et Pierre Mezerette replongent dans cette nuit rwandaise pour faire la lumière sur la responsabilité de la communauté internationale et celle de la France en particulier.

Ils ont démonté et démontré la logique de ce crime-des-crimes.

La redoutable efficacité de l’injonction “Tuez-les tous” n’est pas le fruit du hasard : 1000 morts par jour en 100 jours, soit 1 million de victimes, cela se prépare minutieusement et s’exécute sans la moindre improvisation !

Qui a formé les Forces Armées Rwandaises ? Qui a entraîné les milices ? Qui les a armées ? Qui est intervenu au Rwanda et dans quel objectif ?

Images d’archives, témoignages d’officiels, enquête parlementaire, interview… les preuves s’amoncellent et des explications se dessinent.

usflag In 2004, ten years after the genocide of the Tutsis in Rwanda, Raphaël Glucksmann, David Hazan and Pierre Mezerette dive back into the rwandan night to shed light on the international community’s and France’s responsibilities.

They unravelled and demonstrated the logic behin this crime-of-crimes.

The terrifying efficiency of the injonction “Kill them all” is no chance: 1000 dead a day in 100 days, adding up to 1 million victims, is something that needs to be carefully planned and leaves no room to improvisation.

Who trained the Rwandan Armed Forces? Who trained the militias? Who armed them? Who intervened in Rwanda and to what end?

Archive images, officials statements, parlementary investigation, interviews… the proofs pile up and explanations start to take shape.


Échanges et témoignages animés par Bruce Clarke Artiste plasticien engagé pour le Rwanda

On the Border

frflag Bruce Clarke est né en 1959, à Londres et s’installe en France après des études aux Beaux-Arts à Leeds University.

Plasticien et photographe, ses œuvres stimulent une réflexion sur le monde contemporain et traitent de l’histoire, de son écriture et de sa transmission.

Il voit dans l’art un moyen privilégié de s’exprimer et d’informer, de porter un regard sur le monde qui nous entoure.

Militant anti-apartheid à l’époque de l’apartheid en Afrique du Sud, il intègre cet engagement politique dans sa recherche plastique.

Son engagement l’a amené à travailler sur le Rwanda. Il a collaboré au projet “Rwanda : Écrire, filmer, peindre par devoir de mémoire” au Fest’Africa à Lille.

Auteur du projet “Le Jardin de la Mémoire“, composé d’un million de pierres portant chacune le nom d’un disparu. Elles sont placées par les familles ou les proches des victimes du génocide. Cette sculpture mémorielle sur le génocide rwandais est soutenue par l’UNESCO et les associations de la société civile rwandaise.

usflag Bruce Clarke was born in 1959 in London and starts to live in France after studying Fine Arts at Leeds University.

Visual artist and photographer, his work stimulates a reflexion on the world and deals with contemporary history and the way it is written and transmitted.

He sees art as a privileged way of expression, information and action.

Involved as an activist in the anti-apartheid struggle, he has always tried to integrate political commitment in visual art research.

His engagement has led him to work on Rwanda. He collaborated on the project “Rwanda : Write, film, paint to remember” à Lille’s Fest’Africa.

Author of the project “the Garden of Memory”, made of a million stones each bearing the name of a victim of the genocide of the Tutsis in Rwanda. The family or close ones of the victim would bring the stone to its place. This memorial sculpture received the support of the UNESCO and was realised in partnership with associations of the civil society in Rwanda.

Artists

Press

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Un demi-mètre carré : c'est la taille moyenne des peintures, dessins, collages, sculptures qui se sont échappés des prisons de quarante pays pour éclabousser de leur diversité les murs de la galerie de l'Américaine Dorothy Polley. La toute première e
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Ils et elles font rimer art avec taulard(e)s, mitard, parloir… mais aussi espoir. Ce sont cent cinquante détenu(e)s qui, sur tous les continents, du fond de leur prison, ont réalisé des œuvres d'une grande diversité. Les voilà exposées par Dorothy Po
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