Bruce Clarke Visual artist and photographer born in London in 1959, he came from a family of South African activists, exiled a year earlier.
He moved to France after studying Fine Arts at the University of Leeds where he was introduced to the Art & Language movement, conceptual art in which his work would be inscribed.
Committed artist, Bruce Clarke testifies, in his creations, of contemporary history and questions. He has exhibited since 1989 in France and abroad.
Engaged in the anti-apartheid movement, Bruce Clarke is deeply involved in the organization “National Meeting Against Apartheid”. At the same time, militant against the warning signs of the genocide in Rwanda, he created a genocide memorial “The garden of memory” in 2000 and then in 2014 with the collective “Les Hommes Debout”, he gives body and faces to the missing by gigantic murals on the sites of memory of the genocide on the occasion of the 20th anniversary.
He integrates his political commitment into his plastic research which is situated in a current of critical figuration. “My technique is that of critical figuration. To appear, to represent, is already to denounce and condemn the unacceptable “.
Bruce Clarke lives his work. Through it, he plunges in real time into life, events, dramas. A true journey of feelings, his creation combines images and words, torn, torn, deconstructed and reconstructed according to his sensitivity.
français
Bruce Clarke
Plasticien et photographe né à Londres en 1959.
Issu d’une famille de militants sud-africains, exilés un an plus tôt, il s’installe en France après des études aux Beaux Arts de l’Université de Leeds. Il est initié au mouvement Art&Language, mouvement d’art conceptuel qui a une répercussion sur son travail.
Artiste engagé, Bruce Clarke témoigne, dans ses créations, de l’histoire contemporaine et l’interroge. Il expose depuis 1989 en France et à l’étranger.
Engagé dans le mouvement anti-apartheid, Bruce Clarke s’implique profondément dans l’organisation «Rencontre Nationale Contre l’Apartheid». Dans le même temps, militant contre les signes annonciateurs du génocide au Rwanda, il créé un mémorial du génocide « Le jardin de la mémoire » en 2000 puis en 2014 avec le collectif «Les Hommes Debout», il redonne corps et visages aux disparus avec de gigantesques peintures murales sur les lieux de mémoire à l’occasion du 20e anniversaire du génocide.
Son engagement politique se laisse percevoir dans sa recherche plastique. «Ma technique est celle de la figuration critique. Figurer, représenter, c’est déjà dénoncer et condamner l’inacceptable».
Bruce Clarke vit son œuvre. A travers elle, il plonge en temps réel dans la vie, les évènements, les drames. Véritable parcours d’un ressenti, sa création mêle images et mots, lacérés, déchirés, déconstruits et reconstruits selon sa sensibilité.